Un virus ... ( Fred)

Je fronce les sourcils.

- Non, il n'y a pas de cours.

Je soupire ; il tousse.

- Du moins .. Ce n'est pas officiel. Quelques élèves s'entraînent clandestinement dans la cabane hurlante, murmurai-je pour que l'infirmière ne m'entende pas.

Il sourit faiblement. Inconsciemment je pose ma main sur la sienne. Je le regarde et sourit légèrement ; qu'est-ce-qu'il m'arrive?

Il pose sa main sur la mienne. Je rougis à ce contact. Je ne bouge pas la mienne, il me fixe.

Une nouvelle quinte de toux me reprit et inconsciemment je lui serrais la main. Il me tendit la fiole avec son autre main, je la pries et en bus une gorgée. Il me regardait, je desserrais sa main.

Un silence gênant s'installat.

Je souries.

- Depuis l'âge de 8 ans. Lui dis-je doucement, * je me mis à rire *, je me rappelles encore que je me planquais derrière la maison car au début, lorsque je me retransformais en garçon, je me retrouvais * je rougis * sans mes vêtements. Lui dis-je en le regardant et toujours en riant.

Fred rit aussi

Je frissonnes, rien que d'y penser j'en ai la chaire de poule.

- Ah ouais j'y avais pas penser. Lui dis-je. Mais c'était le seul endroit où je pouvais m'entaîner car j'avais pour ordre de ne pas bouger, je n'avais même pas pu avoir des amis, c'était également interdit. D'ailleurs j'étais souvent seul à la maison. Lui dis-je tout en le regardant.

- S'est une longue histoire, lui dis-je avec un petit sourire triste

- Disons que ma famille avait des problèmes, ils ne faisaient confiance à personne. Etant donné que j'étais leur seul enfant, ils avaient peur pour moi. Dès qu'ils sortaient, je me retrouvais seul car ils ne voulaient ni m'emmener ni appeler une gardienne. Alors je ne me montrais pas, et j'allais derrière la maison comme ils me l'avaient autoriser. D'ailleurs, s'était la seule qui me permettait de prendre l'air.

Les problèmes sont devenus de plus en plus dangereux et on changer tout le temps d'endroit.

Comme disait mon père : " Fils s'est par mesure de sécurité qu'on est toujours en déplacement ".

Alors je m'y suis habitué. Puis ... Il y a deux ans, des ... Je m'arrêtas de parler plongé dans mes pensées, inconsciemment je resserras sa main.

Je lui desserra la main.

- Puis ... Il y a deux ans des Mangemorts nous on retrouvé, ils ont encerclé la maison, ils nous ont attaqué, mes parents se sont battus de toutes leurs forces et ont été tué sous mes yeux. * des larmes coulairent le long de mes joues *, je n'ai pas pu les aider. dis-je la voix tremblante. [color=blue]Ces mangemorts ne m'ont pas éliminé ils m'ont simplement dit :

" Voilà ce qui arrive à ceux qui s'opposent à nous "

Ils m'ont envoyé un sort je sais plus lequel et je suis tombé au sol. Quand je me suis réveillé, je ne me rappelais plus de rien, j'étais parterre dans le bois .

Je le regarda, les larmes continuaient de tomber.

Je le regarda.

- Mes souvenirs sont un peu flou. * des images apparurent dans mon esprit * Mais je me rappelles avoir déambullé dans les rues. Je me souviens également que je suis tombé au détour d'une rue, que je n'arrivais plus à me relever et que j'ai entendu une non deux voix dans cette rue. Ces deux personnes se sont approchés de moi et un homme d'un grand âge me pris dans ses bras, et la femme regardait se que j'avais. puis je me suis évanoui et me suis réveillé 1 semaine plus tard dans un lit. Et je sus l'identité des deux personnes qui m'avaient trouvé il s'agissait du professeur Dumbledore et de Madame Pomfresch. lui dis-je simplement.

- Oui s'est vrai. Lui dis-je en lui faisant un sourire. Il n'y en a pas deux comme lui

- Oui effectivement, s'est un grand mage noir. Lui dis-je.

Je le regarda. Je commencas à vouloir me redresser car j'en ai marre d'être allongé.

Il me regarda et me demanda ce que je faisait.

- J'aimerais m'asseoir, mais j'ai un peu de mal. Lui dis-je.

Il se leva et m'aida. Il me regarda dans les yeux. Je rougis un peu.

- Merci. Lui dis-je

Fred se rasseoit.

Madame Pomfresh arriva près du lit où je me trouvé, elle était accompagnée du professeur MacGonagall.

Le professeur MacGonagall nous parle :

" Bonjour les garçons "

Fred et moi lui disons bonjour.

Le professeur MacGonagall se tourna vers moi.

" Alors Heise comment vous sentez vous aujourd'hui ? "

- Je me sents un peu mieux, merci professeur. Lui dis-je

J'acquisse et je vis Heise se lever (ou du moins, essayer). Je passai mon bras autour de sa taille tandis que je pris l'un des siens pour le mette sur mes épaules.

Fred m'aida. Je rougis.

- Merci pour ton aide. Lui dis-je

Et nous commencons à suivre le professeur MacGonagall.