Un virus ... (Suite) ( Fred)

Je souris et, pris d'une pulsion venant de je ne sais où, dépose mes lères dans le creux du cou de Heise.

Je frissonne au contact de ses lèvres sur la peau de mon cou.

Ce contact ne me déplaît pas. J'avoue que j'aimes beaucoup et tends mon cou un peu plus.

Je l'entends soupirer et je sens son cou se presser de lui-même sur mes lèvres, en demandant plus.

Je soupirai à mon tour et passai ma main sur son torse tandis mes ma langue se baladait sur le cou de Heise, mes lèvres suçant sa peau par endroits.

Je soupire d'aise, et m'accroches à lui.

Je gémis et l'embrasses à mon tour dans le cou. Mes mains se baladant sur son torse.

Ses mains me procuraient des frissons par milliers, ma peau ne demandait que ses caresses et ses baisers. Je ne sais pas ce qu'est ce sentiment, je ne pense pas l'avoir déjà connu ... Je soupire et ferme les yeux, sentant le souffle de Heise parcourir mon torse.

Je l'embrasses dans le cou, puis je remontes et embrasse sa machoire, puis ses lèvres. Je lui lèches sa lèvre inférieure, il entrouvre sa bouche et j'y glisse lentement ma langue et joue avec la sienne.

Je soupirai sous l'effet du plaisir et mes mains se mirent d'elles-même à parcourir le dos de Heise, qui était à présent allongé sur moi.

Je continue à l'embrasser. Mes mains continuent de parcourir son torse.

Je quittes ses lèvres et rembrasses son cou.

- Heise .., réussis-je à placer entre deux soupirs. Tu.. Des gens pourraient nous v..voir !

Il s'arrêta un moment et secoua la tête en signe de négation. Je soufflai, soulagé, et le retournai sur le dos avant de m'allonger de tout mon long sur lui.

Il me retourne et s'allonge sur moi.

Je continue à l'embrasser et je carresses son dos. Mes mains s'égarrant sur ses fesses musclées.

Je mords l'épaule de Heise en sentant mon sexe durcir sous tant de désir. Je l'entends gémir de douleur et de plaisir en même temps, sa main se faufilant sous mon boxer.

- Heise .. dis-je en soupirant, enivré. T'es malade ..

- Oui mais j'ai envie. Dis-je en l'embrassant et en continuant de carresser sa virilité.

Je stoppes mes carresses.

- T'es sûr que s'est ce que tu veux ? Demandais-je

Je soupirai en voyant son air vexé. Heureusement que ses yeux étaient noirs, parce que je suis sûr qu'ils m'auraient fusillé.

- Ecoute ...

Il soupira bruyamment et se rallongea sur le lit, dos à moi.

Je me retourna.

- Je t'écoutes. Dis-je

- C'est pas que j'en ai pas envie, dis-je, rougissant. Au contraire... ajoutai-je en murmurant.

Il soupira à nouveau pour exprimer son mécontentement.

- J'ai envie de toi, mais t'es malade, qui sait ce qu'il peut t'arriver ? dis-je d'une traite.

Il ne répondit pas et crispa sa main sur la couverture. Je la lui pris et la serra légèrement. Puis je m'approchai de son visage et déposai mes lèvres sur les siennes. Les pulsions remontèrent..

On s'embrassait.

- Tu as raison. Dis-je entre deux baisers.

Je me mis à haleter ; je n'avais jamais eu autant envie de quelqu'un avant Heise. Nos lèvres s'entrouvrirent et nos langues se caressèrent brutalement, déchainées pas la passion qui nous habitait. Je me remis à caresser son torse, le repoussant inconsciemment sur le dos, m'allongeant à moitié sur lui ...

- Je déteste avoir raison, grognai-je entre deux baisers.

On s'embrasse de nouveau, je frissonne sous ses attentions. Mon désir est au summum, je carresses son dos et repose ma main sur ses fesses tandis que l'autre, je la glissais dans son boxer et continuant de le carresser.

- Fred .... hum .... Sussurais-je à son oreille.

Je grognai de plaisir sous sa main caressant mon membre. Mes lèvres parcouraient son cou, sa mâchoire,sa bouche, son torse..Sa peau, son corps tout entier.

Je gémissais de plus en plus et en voulais plus. J'accélérais mes caresses sur son membre dressé et de mon autre main, je continuais de caresser ses fesses.

Je passai ma main sur son pantalon de pyjama à l'endroit où son sexe se trouvait, plus dur que jamais. Je me relevai, assis à califourchon sur Heise. Je souris légèrement et lui enlevai son pantalon, puis son boxer. Je me mordis la lèvre inférieure à la vue de son pénis dressé comme un i. Il soupira, gémit, et donna un coup de bassin pour m'inciter à aller plus loin.

Au contact de Fred, Je gémis de plus belle en lui faisant comprendre que j'en voulais plus .... Beaucoup plus.

- Hum ... Fred ... Soufflais-je

Je souris en coin et défis ma braguette. J'enlevai mon pantalon et mon boxer et m'allongeai de tout mon long sur Heise, me remettant à baiser la moindre parcelle de peau que mes lèvres rencontraient.