Souvenirs, souvenirs... ( PV Legna Cullen )

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Colère, haine, dégoût, l'envie de vengeance... Tous ses sentiments se mélangent en moi. Une tornade, un ouragan. Je suis dans la forêt et j'essaye d'évacuer tout ça mais je n'y arrive pas. Je tape partout en criant, en pleurant, une déferlante d'insultes sort de ma bouche. Pourquoi a t-il fallu que je tombe une fois de plus amoureux de la mauvaise personne ? Le sort s'acharne encore sur moi... Pourquoi ? Je ne pense pas être une mauvaise personne. Si ?

Je donne un coup de pied dans un arbre, le déracinant sans ménagement. Il faut que je me calme et vite.

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Je me balladais dans la Forêt, avec un bandeau sur mon oeil droit le cachant, histoire de respirer en dehors des murs quand j'ai vu un arbre tomber en ma direction. J'ai esquivé avec un de mes nouveaux pouvoirs en le brisant en deux.

<< Wow, violent ça >>

Je me dirige vers l'endroit opposé et aperçois Télios, plus que énervé.

<< faut que je fasse quelque chose >>

Je ne suis pas loin de lui et sans le quitter des yeux, je l'entoure d'une prison doré comportant une énergie d'apaisement et de calmement.

- Calmes toi, petit !

Je m'approche et l'observe d'un oeil.

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Je n'ai pas compris ce qui se passait. Me voilà en cage tapant partout, criant, pleurant encore. J'essaye de sortir de ma prison par n'importe quel moyen même les plus stupides, me faisant mal. Je suis trop en colère pour ressentir la douleur et voilà que la pluie tombe !

LAISSES- MOI ! T'AS PAS LE DROIT ! RELÂCHES-MOI !

Je continue de me débattre avec rage.

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Il est hors de lui et j'avoue ne savoir que faire.

- Non, temps que tu ne seras pas calmé petit frère.

Je suis à quelques millimètres de la cage et le regarde. J'intensifie l'énergie afin de le calmer ne serais-ce même qu'un peu.

- Je veux pas que tu te fasses plus de mal.

Je rajoute une énergie nouvelle, celle qui permet de soigner les blessures à chaque fois qu'il s'en fait.

- Calmes toi, poussin.

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J'ai la tête qui tourne de plus en plus et ma colère ne fait que grandir. Je tape comme un forcené sur les barreau espérant les briser à la longue. Peine perdue. Je tombe à genoux dans cette prison qui me rends fou plus qu'autre chose. Un dernier regain d'énergie et je fais exploser la cage avant de perdre connaissance, sur le sol de la forêt.

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J'esquive les éclats de la cage car mine de je tiens tout de même à mon autre oeil. Télios aillant perdu connaissance, je le récupère et l'allonge sur un lit de fleurs.

- Je vais te soigner, poussin.

Je lui envoie de l'énergie pour qu'il reprenne des forces et le soigne en même temps. Une fois que j'estime que les blessures sont soignées, j'arrête les soins à ce niveau là et continue de lui envoyer de l'énergie.

- Reposes toi, je veilles sur toi.

Je lui dépose un bisou sur le front et continue l'envoie d'énergie.

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Je me redresse et m'approche d'un autre arbre. On a l'impression qu'il tremble dans son feuillage. Je donne toute une série de coups de poings sur son écorce. J'essaye de faire partir cette colère en moi, certes, elle est moindre mais je veux qu'elle disparaisse pour de bon et je suis près à tout pour ça. Mes coups s'accélère et du sang s'échappe de mes mains.

Je me sens plaqué contre le tronc avec force. J'essaye de repousser Legna en bougeant dans tous les sens mais il s'appuie davantage contre moi, de tout son poids. Dois-je rappeler qu'il a 15 ans et que moi je n'en ai que 12 ? Non ? Je ne fais pas vraiment le poids et pourtant j'insiste toujours.

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Télios recommence à se faire du mal en allant taper de nouveau dans un second arbre. Là je commence sérieusement à m'énerver et le plaque violemment contre le tronc. Il essaye de se dégager mais plus il bouge, plus je me mets contre lui et plus je le plaque avec force. Mes yeux brillant jaune d'énervement.

- BORDEL ! TU VAS ARRETER OUI ?

Je l'oblige à me regarder, en lui tenant de force le visage. Il se débat encore plus.

- TELIOS ! PXTAIN !

Je le regarde et essaye de me calmer.

- Petit frère, arrêtes s'il te plait.

Il bouge encore et ne sachant quoi faire de plus béh, je l'embrasse sur les lèvres en me plaquant plus contre lui.

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Le contact de ses lèvres sur les miennes me rends tout chose. J'essaye de me débattre mais j'ai l'impression que mes forces m'abandonnent de plus en plus. Je me colle également contre lui, la pluie tombant sur nos deux corps. Je ne sais pas ce qui se passe mais je me sens bizarre. Il déconnecte nos lèvres que je m'empresse de reconnecter encore et encore.

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Je déconnecte nos lèvres et l'observe un court instant avec les yeux brillants avant qu'il ne reconnecte nos lèvres. J'entoure sa taille et réponds à son baiser, invitant sa langue à jouer avec la mienne. Je le colle plus à moi et carresse son dos ainsi que ses cheveux sans déconnecter nos lèvres durant un long, très long moment. Je me détache de ses lèvres et embrasse sa machoîre et son cou.

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Je ferme les yeux et étire mon cou. Une de mes mains prend place dans ses cheveux tandis que l'autre se place dans son dos. Je caresse ses cheveux en douceur. Mes larmes coulent toujours d'elles-mêmes mais je n'y prête pas attention. Je resserre mes prises autour de lui. J'ai besoin de lui maintenant. Il est mon grand frère. Mon corps frissonne. Je me mords la lèvre fortement, étouffant un gémissement.

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Je torture doucement son cou, le faisant pousser un petit gémissement. Je remonte sur sa machoîre que j'embrasse avant d'échouer sur ses lèvres et glissant ma main sous son haut, carressant son torse du bout des doigts. Je retourne dans son cou que je torture de nouveau, faisant glisser ma main sur la ceinture de son pantalon que je déboucle et la passe en-dessous, entamment de douces carresses sur son membre.

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Mon corps s'enflamme d'un seul coup sous les attouchements de mon frère. Quelques gémissements s'échappent de ma bouche. Je ne contrôle plus rien. Mon corps réagit de lui même. La colère et la douleur sont encore présentes mais pas suffisamment pour y prêter attention. Je griffe sa nuque en poussant un petit cri. La pluie semble chaude à présent. c'est plutôt agréable.

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Je fais disparaître nos hauts et embrasse son torse, en descendant. Je fais disparaître le reste de ses vêtements et prends son membre en bouche, en entier et commence des vas et vients en tout son long, l'enfonçant plus profondément à chaque mouvements, carressant du bout des doigts son torse. Il gémit plus fort, poussant de petits cris par-ci par-là.

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Je ferme fortement les yeux en gémissant, criant un peu par moment. Je ne pensais pas que ça allait déraper comme ça mais ce n'est pas déplaisant. Les mauvais souvenirs s'échappent un peu plus à chaque fois que le plaisir augmente en moi. Je m'accroche au tronc d'arbre derrière moi, ne sachant plus vraiment où donner de la tête. Ma respiration s'accélère ainsi que les battements de mon coeur.

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J'accélère mes mouvements à chaque fois, le faisant pousser des cris de plaisirs de plus en plus fort et carressant toujours son torse. Je veux le faire monter et lui faire oublier toutes colère et tristesse si c'est possible. Le revoir sourire comme avant. Je ne veux plus qu'il souffre à cause de connards qui ne le méritent pas. J'accélère de nouveau mes mouvements, l'enfonçant plus dans ma gorge.

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Mes gémissements se sont transformés en cris de plaisir. Mes ongles raclent l'écorce de l'arbre dans mon dos. Je perds pieds de plus en plus. Dans un dernier moment de lucidité, je le fais remonter et l'embrasse, les lèvres brûlantes de désir. Une de mes mains descend vers son pantalon et glisse en dessous ses derniers vêtements. Je le caresse sans déconnecter nos lèvres. Je ne sais pas si il aime car j'avoue avoir perdu l'habitude de ce genre de choses...

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Je remonte des suites de sa demande et réponds à son baiser, enflammé. En sentant sa main s'activer sur ma virilité, je ne peux retenir un gémissement qui s'échoue contre ses lèvres. Je carresse ses cheveux et son dos, gémissant dans le baiser et replace une de mes mains entre nous pour lui prodiguer de nouvelles carresses sur son membre.

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Mon corps se cambre contre le sien et mes gémissements reprennent le dessus, s'échouant entre ses lèvres chaudes. Je me colle davantage à lui en gémissant de plus belle et sans cesser mes caresses sur son membre. Et quel membre ! Il est bien monté mon grand frère... Vous savez, maintenant que je suis seul, je vais en profiter, je vais suivre les conseils de pas mal de personnes. Il ne doit sûrement pas se gêner, lui... Et tant pis si je deviens nymphomane...

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Je gémis de plus en plus dans le baiser, accélérant de nouveau mes mouvements sur sa virilité. Il fait chaud dans cette forêt ma foi. Nos gémissements se mêlent et sont plus fort, se perdant dans la bouche l'un de l'autre. Un de ses mouvements me fait déconecter un court instant mes lèvres des siennes.

- Hannn... Télios... Hmmm...

Je reconnecte nos lèvres, accélérant de nouveau mes mouvements sur son membre.

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Mon corps en réclame plus et le sien aussi. Je le débarrasse de ses derniers vêtements et me recolle à lui, en ondulant furieusement et faisant s'entrechoquer nos anatomies respectives. Il fait chaud ici ! La pluie ne me rafraichis même pas ! Son corps est tellement brûlant que de la sueur recouvre progressivement le mien. Je remonte une de mes jambes le long de la sienne et ondule encore, toujours plus.

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- Haa... Téli... hann...

Je tiens sa jambes et la lui carresse, torturant de nouveau son cou.

- hmmm... hannn...

Au bout d'un moment, je le soulève et l'appuie contre le tronc. Je l'embrasse, rentrant en lui doucement puis jusqu'au fond et commence de doux mouvements en lui.

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Mes jambes enserrent sa taille et mes bras, son cou. Je ferme les yeux, la tête en arrière gémissant, criant de plaisir. Il me contrôle avec ses mouvements et j'aime ce que je ressens. Ma tête se vide enfin de toutes les mauvaises choses qui l'habitaient et mes cris résonnent dans le silence du soir.

Invité

Télios crit son plaisir, m'insitant à accélérer mes mouvements en lui. Je torture toujours son cou, bloquant mes gémissements contre les particules de son corps. Il crit de plus en plus, à chaque fois que je touche sa prostate. Je remonte le long de sa machoîre et échoue sur ses lèvres que j'embrasse goulûment.

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Plus...fort !

Il connecte nos lèvres et accélère ses mouvements de plus en plus. Je décolle, je monte de plus en plus haut. Nos baisers se font plus violents, plus désirables les uns que les autres. Un mouvement me fait lâcher prise et partir ma tête en arrière en criant encore. Mes ongles s'enfoncent dans sa chair le faisant accélérer...